logo
#

Dernières actualités avec #Michel Blanc

«Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce… On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher…»: la bande du Splendid, cultissime
«Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce… On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher…»: la bande du Splendid, cultissime

Le Figaro

time5 days ago

  • Entertainment
  • Le Figaro

«Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce… On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher…»: la bande du Splendid, cultissime

Répliques inoubliables, reparties légendaires, expressions mémorables : le Splendid a marqué l'histoire du cinéma français. «Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce… On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher…»: la bande du Splendid, cultissime «Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce… On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher…»: la bande du Splendid, cultissime «T'as pas l'impression qu'on a l'air cons ? Ouais, mais de cons bien habillés» : les dialogues déjà cultes de La Patellière et Delaporte « Est-ce que j'ai une gueule à faire l'amour avec des souvenirs ? » Les inoubliables dialogues de Jacques Prévert «C'est pour les enfants que ça doit être terrible. Heureusement qu'ils n'en ont pas» : Jaoui et Bacri, le génie des dialoguistes du quotidien Tout le monde ne savait pas parler «le Audiard» : hommage au légendaire dialoguiste du cinéma français Répliques inoubliables, reparties légendaires, expressions mémorables : tout l'été, nous rendons hommage aux dialoguistes qui ont marqué l'histoire du cinéma français. Et les dialogues sont de... En savoir plus sur notre série Dans les années 1960 et 1970, les films qui faisaient rire les Français relevaient du comique de situation. C'était l'époque de Gérard Oury, Claude Zidi, Yves Robert. Les stars s'appelaient Bourvil, Louis de Funès, Pierre Richard. Leurs films, que l'on pouvait regarder en famille, généraient des millions d'entrées. Tout cela a changé avec la bande du Splendid : Michel Blanc, Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko, Thierry Lhermitte, Christian Clavier et Bruno Moynot (inoubliable Monsieur Prescovitch). Avec eux, il y avait des situations hilarantes, mais aussi des dialogues tellement grandioses qu'aujourd'hui encore, plusieurs générations les connaissent par cœur. À lire aussi «Il est le vrai patron de la comédie populaire à la française»: Christian Clavier, faire rire est son métier Une bonne partie de la bande s'était rencontrée au lycée Pasteur de Neuilly. Plus tard, les apprentis comédiens ont pris des cours avec Tsilla Chelton – future Tatie Danielle –, qui les avait pris sous son aile et qu'ils adoraient. De fil en aiguille, les copains ont commencé à écrire des pièces montées au petit théâtre…

« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin
« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin

Le Parisien

time13-07-2025

  • Entertainment
  • Le Parisien

« Quel con ! » : très ému, Gérard Jugnot revient sur la disparition de Michel Blanc qui l'a laissé « un petit peu » orphelin

Neuf mois plus tard, l'émotion est encore vive. L'acteur Gérard Jugnot est revenu sur la mort de son ami Michel Blanc à l'occasion d'un entretien accordé à l'émission « 50″ inside », diffusée ce samedi 12 juillet sur TF1. La troupe du Splendid a en effet perdu l'un de ses membres en octobre, avec le décès du comédien de 72 ans , victime d'un choc anaphylactique et un œdème de Quincke en marge d'un examen médical. Très vite, Gérard Jugnot avait pris la parole sur Instagram en publiant un court message : « Putain, Michel… Qu'est-ce que tu nous as fait… » Il a accepté de revenir sur la disparition brutale de son ami lors d'un entretien avec Isabelle Ithurburu . À peine son nom avait-il été prononcé par la journaliste que Gérard Jugnot a laissé échapper un « Quel con ! », empreint d'émotion. « Michel avait un sens du dialogue formidable. Il a toujours été un peu à part. Il avait vraiment besoin de sa bulle, de son univers. C'était un râleur, il se plaignait tout le temps », a-t-il tout de même plaisanté, avant de confier un émouvant souvenir avec celui qui incarnait Jean-Claude Dusse . « La dernière fois que je l'ai vu ici (au théâtre du Splendid) , on faisait les photos pour Paris Match , il nous a cassé les cou***** parce qu'il avait mal aux pieds ou je ne sais quoi, s'est remémoré Gérard Jugnot. Et puis au bout de 5 minutes, on s'est éclaté, on a rigolé, il a dit plein de conneries… C'était génial. C'était quelqu'un qui râlait dès le départ ». Interrogé à savoir s'il se sentait un peu « orphelin » depuis la mort de son ami, le comédien de 74 ans est resté très pudique : « Un petit peu », a-t-il lâché du bout des lèvres à Isabelle Ithurburu, les yeux embués et rougis par l'émotion. Avec pour ingrédient magique, « la dérision », les membres du Splendid ont toujours su rester unis au travers des décennies : « On est très très différents, on ne pense pas du tout la même chose sur plein de sujets, mais on avait un dénominateur commun qui était la dérision, l'observation des gens, le fait de se moquer un peu de nos parents, des gens plus âgés, ou des cons… Ou de nous-mêmes ! » a insisté l'interprète de Bernard dans « Les Bronzés » . « On ne s'est jamais engueulés. Sur scène, il n'y a jamais eu de problème de tirage de couverture. Dès qu'il y avait un sujet qui fâche, on l'évitait », a-t-il tout de même reconnu.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store